Les Croyances qui sabotent nos Relations : Amitié, Amour et Travail

Les croyances qui sabotent nos relations : amitié, amour et travail. Les croyances qui sabotent nos relations : comprendre et dépasser les idées reçues pour des interactions épanouies.

Nos croyances façonnent nos interactions sociales au quotidien, que ce soit dans le cadre professionnel, amical ou amoureux. Souvent, des idées profondément ancrées affectent la qualité de nos relations, sans même que nous en soyons conscients.
Ainsi, prenons l’exemple d’un cadre qui cherche à tout contrôler dans son équipe, paralysant la créativité et l’initiative de ses collaborateurs; ou d’une personne qui, par peur de montrer ses faiblesses, adopte une attitude distante dans ses amitiés.
Au final, ces comportements sont les reflets de croyances limitantes qui sabotent nos relations.
Voici un tour d’horizon de ces croyances et des moyens de les déconstruire.

Cette croyance, généralement issue de traumatismes ou d’expériences négatives, se manifeste dans tous les types de relations.
Que ce soit en amitié, en amour ou au travail, ceux qui pensent ne pas mériter d’être respectés ou aimés finissent fréquemment par s’effacer, adopter un comportement de soumission, ou s’entourer de personnes toxiques.

Cette croyance, généralement issue de traumatismes ou d’expériences négatives, se manifeste dans tous les types de relations.
Que ce soit en amitié, en amour ou au travail, ceux qui pensent ne pas mériter d’être respectés ou aimés finissent fréquemment par s’effacer, adopter un comportement de soumission, ou s’entourer de personnes toxiques.

Aussi, selon le sociologue Erving Goffman, chaque individu porte un “masque social” pour se conformer à ce qu’il pense que les autres attendent de lui.
C’est en retirant ce masque, et en travaillant sur l’estime de soi via des thérapies comme la psychologie humaniste – Rogers – ou des approches plus décalées comme la psychogénéalogie, que l’on peut progressivement changer ce rapport à soi et aux autres.

Dans le cadre professionnel, cette croyance se traduit souvent par une micro-gestion des tâches, empêchant toute autonomie et innovation.
En amour ou en amitié, elle peut se manifester par une jalousie excessive ou une incapacité à déléguer la confiance à l’autre.

La philosophe Hannah Arendt a évoqué la notion de “pouvoir” comme étant au cœur des relations humaines, mais elle souligne que le pouvoir est fondé sur la coopération, et non sur le contrôle absolu.

Néanmoins, il existe un outil efficace pour lâcher prise : la systémique qui aide à comprendre que chaque relation est une dynamique dans laquelle chacun joue un rôle.
Par ailleurs, pratiquer la communication non-violente permet également de reconnaître ses peurs sans chercher à tout contrôler.

Dans le cadre professionnel, cette croyance se traduit fréquemment par une micro-gestion des tâches, empêchant toute autonomie et innovation.
En amour ou en amitié, elle peut se manifester par une jalousie excessive ou une incapacité à déléguer la confiance à l’autre.
Dans un monde souvent perçu comme compétitif, la vulnérabilité est considérée à tort comme une faiblesse. Cette croyance, présente dans toutes nos sphères relationnelles, nous pousse à cacher nos doutes, nos peurs et nos failles.

Dans un monde continuellement perçu comme compétitif, la vulnérabilité est considérée à tort comme une faiblesse.
Cette croyance, présente dans toutes nos sphères relationnelles, nous pousse à cacher nos doutes, nos peurs et nos failles.

Le philosophe Emmanuel Levinas a longuement exploré l’idée de “l’altérité”, l’importance d’accepter l’autre dans son humanité entière, avec ses forces et ses faiblesses.
De cette approche, exposer ses vulnérabilités permet d’établir des relations plus authentiques.
Pour y parvenir, une approche telle que la logo thérapie – Viktor Frankl -, qui insiste sur la recherche de sens dans nos expériences, peut être bénéfique.
C’est ainsi qu’elle nous apprend à voir nos faiblesses non comme des obstacles, mais comme des chemins vers la compréhension et la connexion.

Cette croyance, ancrée dans une vision pessimiste du monde, nous pousse à rester bloqués dans des schémas relationnels insatisfaisants, qu’il s’agisse de relations amoureuses, amicales ou professionnelles. Par ailleurs, elle traduit une projection négative qui finit par se réaliser.

Le sociologue Pierre Bourdieu nous rappelle que nos relations sont en partie le produit de notre “habitus”, c’est-à-dire de notre cadre mental forgé par nos expériences.
En travaillant sur ce conditionnement avec des outils comme la visualisation positive ou la psychologie narrative, on peut réécrire son histoire et attirer des relations plus alignées avec nos attentes et nos valeurs.

Cette croyance, ancrée dans une vision pessimiste du monde, nous pousse à rester bloqués dans des schémas relationnels insatisfaisants, qu’il s’agisse de relations amoureuses, amicales ou professionnelles. Elle traduit une projection négative qui finit par se réaliser.

Les croyances limitantes peuvent créer des murs invisibles qui empêchent l’épanouissement de nos relations, qu’elles soient professionnelles, amicales ou amoureuses. Comme le soulignait Carl Jung : « Ce à quoi tu résistes persiste, ce que tu acceptes te transforme. »
En apprenant à identifier, accepter et transformer ces croyances, il devient possible de créer des relations plus authentiques, basées sur la confiance, l’ouverture et le respect mutuel.

Si vous ressentez que certaines de ces croyances freinent vos relations, un accompagnement personnalisé vous aidera à les dépasser.
Ensemble, travaillons à créer un cadre propice à des interactions épanouies, tant sur le plan personnel que professionnel.